






Les services de la Préfecture de Seine-maritime nous informent que :
À compter de ce mercredi 22 octobre 2025, par arrêté de la ministre en charge de l’agriculture publié ce jour, la France relève au maximum son niveau de risque influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) sur l’ensemble du territoire métropolitain de modéré à élevé.
Ce réhaussement fait suite à la confirmation de plusieurs cas sur la faune sauvage et dans des élévages sur le territoire national, et la possibilité de diffusion du virus par ces oiseaux migrateurs aux oiseaux détenus.
Cette décision entraîne la mise en œuvre immédiate des mesures suivantes sur le territoire national :
• la claustration ou la mise sous filet des oiseaux pour les établissements détenant moins de 50 volailles ;
• la mise à l’abri et protection de l’alimentation et de l’abreuvement des oiseaux dans les établissements détenant plus de 50 volailles ;
• l’équipement obligatoire des véhicules destinés au transport de palmipèdes de plus de trois jours au moyen de bâches ou équivalents empêchant toute perte significative de plumes et duvets par un camion plein ou vide ;
• interdiction des rassemblements de volailles et oiseaux captifs ;
• restrictions aux transports d’oiseaux appelants et interdiction du lâcher de gibier à plumes de la famille des canards, oies, cygnes (anatidés).
Au moindre doute, il est recommandé à tout éleveur ou détenteur de basse-cour de contacter son vétérinaire sanitaire.
Pour rappel, la consommation de viande et d’œufs et plus généralement de tout produit alimentaire à base de volaille ne présente aucun risque pour l’Homme.
Enfin, les communes situées dans les zones déterminées pour l’épisode d’IAHP en cours autour de la commune de Luneray restent soumises aux mesures fixées par l’arrêté préfectoral du 15 octobre 2025 qui leur a été communiqué le 15 octobre 2025.
RECENSEMENT DES ANIMAUX DE COMPAGNIE
En France, la présence de chiens errants sur le territoire communal soulève des enjeux de sécurité publique, de bien-être animal et de responsabilité juridique.
Le Maire dispose de pouvoirs de police administrative pour assurer la tranquillité, la sécurité et la salubrité publiques (article L. 2212-2 du Code Générale des Collectivités Territoriales).
En matière de chiens errants, sa responsabilité est engagée sur deux plans :
- La sécurité des personnes : un chien errant peut représenter un danger (morsures, accidents). Le Maire doit agir pour prévenir ces risques.
- La protection animale : l’article L. 211-19 du Code Rural impose aux communes de capturer les animaux errants et de les conduire en fourrière.
La gestion des chiens errants est aussi une opportunité d’améliorer la cohabitation entre humains et animaux et également d’identifier plus facilement votre animal en cas de perte. C’est la raison pour laquelle, je vous demande de participer au questionnaire suivant; Cela vous prendra quelques minutes.


Prévention des intoxications au monoxyde de carbone




























